Une bougie paroissiale à l’intention de notre diocèse et de la réouverture de Notre-Dame

Avec l’Avent, nous sommes entrés dans une nouvelle année liturgique. Ce vendredi 8 décembre, nous sommes aussi entrés dans la dernière année qui nous sépare du jour où nous pourrons nous retrouver de nouveau, tous ensemble, à l’intérieur de notre cathédrale Notre-Dame de Paris. 
 
« Je forme le vœu que cette année soit, pour chacun d’entre nous, une année d’attente et d’espérance de ce moment. Il sera d’autant plus précieux que nous aurons attendu bien des années de pouvoir le vivre. Nous attendons, nous espérons, l’émerveillement qui nous saisira en retrouvant Notre-Dame plus belle que nous ne l’avons jamais vue. Mais c’est en réalité bien au-delà du 8 décembre 2024 que notre joie se projette : la réouverture de la cathédrale nous permettra de renouer pour de bon avec le lieu central, le point focal, de notre diocèse et de notre presbyterium, de retrouver notre maison commune » (Laurent Ulrich, Archevêque de Paris).
 
Pour vivre dans la prière ce temps d’attente et d’espérance vers la réouverture de Notre-Dame, une délégation de chaque paroisse parisienne a été invitée à la messe de la solennité de l’Immaculée Conception de la bienheureuse Vierge Marie, célébrée avec tout le diocèse à Saint-Germain l’Auxerrois. Au nom de notre paroisse et en communion avec l’Eucharistie célébrée au même moment à St Jean Bosco avec de nombreux paroissiens, Agnès et Irène ont reçu un cierge et une prière à l’intention de notre diocèse et de la réouverture de Notre-Dame dans 1 an.

Chaque paroisse parisienne est ainsi invitée à partir du 8 décembre 2023, jour de la fête de l’Immaculée Conception jusqu’au 8 décembre 2024, jour de la réouverture de la cathédrale Notre-Dame, à prier :

Avec Marie, l’Immaculée,
qui a accueilli toutes grâces,
nous nous préparons tout au long de cette année
à habiter de nouveau notre cathédrale,
maison de notre diocèse,
terme du chemin pour bien des pèlerins.
Avec le peuple de Paris qui,
depuis 860 ans, confie ses joies et ses peines
à Celle qui a porté le Sauveur,
disposons notre cœur afin que Notre Dame
soit toujours, dans notre cité,
Celle auprès de qui nous pouvons demeurer :
« Je n’ai rien à offrir et rien à demander.
Je viens seulement, Mère, pour vous regarder.
Vous regarder, pleurer de bonheur, savoir cela
que je suis votre fils et que vous êtes là. » (Paul Claudel)